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Jean-Philippe LOUIS

KURU

En résumé

Spécialiste... De la polyvalence!
Reporter des faits divers et de l'actualité judiciaire, je suis un journaliste expérimenté (carte de presse 72178)...
Navigateur à la voile, titulaire d'un diplôme de Capitaine 200, je suis pilote de navire.
Plongeur, moniteur et travailleur en milieu hyperbar, je peux sauter du bateau!

Mes compétences :
Défense
Presse
Journalisme

Entreprises

  • Indépendant - Plongeur, skipper

    2010 - maintenant Solutions subaquatiques, convoyages, texte et images.
  • Le Quotidien - Reporter, chef de service faits divers

    2008 - 2010 C'est finalement au Quotidien que se poursuit ma carrière dans la presse, toujours en faits divers.
    C'est le journal leader à La Réunion.
    Changements par rapport à Radio Festival: le professionnalisme et, surtout, l'écrit. C'est le cœur de mon expérience.
    Chef de service, c'est la suite logique de mon parcours.
  • Radio Festival - Reporter

    2007 - 2008 Retour à La Réunion et deuxième expérience radio, après celle chez RFO en 2003-2004.
    Radio Festival est une des radios du Groupe Quotidien, avec NRJ, Chérie FM et, d'une manière différente, Radio Freedom.
    Il s'agit une fois de plus d'exploiter un carnet d'adresse conséquent et mon expérience des faits-divers et du monde judiciaire.
    Exclusivement du travail de reportage.
  • Focalizé agence de presse - Directeur - reporter

    2005 - 2007 Ce sont les années de concrétisation d'un rêve: faire le reporter de guerre...
    Après la fin de ma période de piges à RFO, je dispose du temps nécessaire pour me lancer dans la création d'une agence de presse destinée à la Presse quotidienne régionale (PQR).
    Il s'agit de couvrir les "points chauds" de la planète en y décelant un angle local.
    Concrètement: simple voyageur, touriste, humanitaire, expatrié ou soldat: il y a toujours un Français qui est concerné par les crises dans le monde.
    Et tout Français a une famille, des proches, des amis qui lisent un journal régional et seraient intéressés par un reportage sur ce sujet.
    C'est ainsi que je travaille en Palestine, au Liban, en Côte d'Ivoire, en Indonésie... Pour des titres aussi variés que l'Est Républicain, La Dépêche du Midi, le Progrès, le Messager, le Courrier Picard, La Provence...
    E, 2006-2007, le paysage de la PQR change vite et beaucoup et ma petite agence loupe le coche.
  • Radio Réunion RFO - Journaliste localier et faits divers

    2003 - 2004 RFO, c'est la grande maison, le service public et les fonctionnaires sur-rémunérés.
    Dans la rédaction de Radio Réunion, les cartes de presse cachent des situations très disparates et l'ex-speakerine connait par coeur la déontologie du journaliste.
    Il s'agit ici encore de suivre l'actualité judiciaire et les faits divers. Pendant le week-end, je suis un localier tout-terrain.
    C'est mon apprentissage de la radio, un médium très ludique et déconcertant par rapport à la presse.
    Un angle par papier, peu de possibilité d'éclairage supplémentaire, l'illustration sonore conditionne l'intérêt du sujet.
    L'instantanée fragilise la crédibilité mais la fréquence des rendez-vous d'information permet d'affiner, voire de corriger les premières infos.
    Vraiment intéressant.
  • Le Journal de l'Île - Journaliste localier et faits divers

    2001 - 2003 Une nouvelle expérience et une nouvelle vie, tout en restant au sein du groupe France Antilles (devenu Groupe Hersant Media - GHM).
    Après les élections municipales de 2001, je quitte Saint-Quentin pour La Réunion.
    J'intègre le service des faits-divers du Journal de l'Île. Au sein de cette rédaction dirigée par Jacques Tillier (connu en métropole pour avoir été enlevé et blessé par Jacques Mesrine), les faits divers sont un tout petit peu moins importants que la rotative.
    Dans un département français particulièrement riche en meurtres, agressions à l'arme blanche et accidents mortels, l'activité du service est soutenue.
    D'autant plus que règne à La Réunion une concurrence unique dans le groupe: le Journal de l'Île n'est ni le seul ni le premier journal.
    En face, le Quotidien de la Réunion ne cède pas un pouce de terrain, sur les faits divers notamment.
  • L'union - Journaliste localier et faits divers

    1998 - 2001 l'union de Reims, c'est le journal de mon enfance, pour ne pas écrire de ma famille.
    Arrivée en CDD pour un poste à cheval sur deux toutes petites sous-préfectures: Rethel et Vouziers, dans les Ardennes.
    La titularisation arrive à Saint-Quentin (Aisne). Xavier Bertrand était déjà premier adjoint mais pas encore secrétaire d'Etat.
    A Saint-Quentin, l'union était presque en terre étrangère, dernière base avancée des Rémois en Picardie.
    Après Agen, c'est le retour en zone de concurrence.
    Rapidement attaché à la vie du Palais de justice et aux faits-divers, je développe pour les faits divers ce que je connaissais en sports: la hantise du ratage.
  • La Voix du Nord - Journaliste localier

    1998 - maintenant Il faut reprendre le travail de reporter après deux ans passés auprès de mon fils, juste né (1996).
    Quatre mois en CDD à La Voix du Nord, notamment à Lille le soir (la nuit) de la victoire finale et mondiale de l'équipe de France de football.
    De la locale, surtout et rien à la fin du CDD.
  • La Dépêche du Midi - Journaliste sportif

    Toulouse 1990 - 1996 Première expérience journalistique: entrée au service des sports de La Dépêche, à Toulouse.
    Pendant quatre ans, j'ai suivi les championnats de rugby de Deuxième et Troisième division, ainsi que quelques sports olympiques (athlétisme et natation).
    J'ai ensuite quitté la maison-mère pour suivre le Castres olympique jusqu'à la finale (perdue) au Parc des Princes, en juin 1995.
    Troisième et dernière expérience à La Dépêche: le SU Agen des Sella et Bénetton.
    Nous étions en 1996, mon fils arrivait au monde, il était temps de le rejoindre et quitter Midi-Pyrénées.

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