CHAMBÉRY
« On ne créé pour autrui que des points de départ »
… et donner ainsi à chacun du pouvoir d’agir…Array
J’interviens depuis plus de 30 ans dans le cadre du développement local, territorial et durable, de l'analyse du travail et des organisations, de la formation et de la vulgarisation, de l’appui à la concertation et au dialogue territorial comme processus formatif, de l’évaluation de politiques publiques.
Habitué aux négociations avec les partenaires sociaux dans l’entreprise (Etat, employeurs, salariés…) et dans les territoires (entreprises, collectivités, institutions de développement), je mets son expertise de l’accompagnement du changement et de la gestion au profit du développement économique, environnemental et social des organisations et des territoires.
J’ai été dirigeant de plusieurs entreprises de l’économie sociale et solidaire (scop, association d’insertion, SAS) et je travaille actuellement dans une coopérative d’activités et d’emploi.
Mes activités et mes recherches
Un territoire peut –il exister sans homme et sans entreprise ? Et à l’inverse, les hommes et leurs entreprises peuvent-ils exister sans racines, sans terroir? Dans ce tissage du local, la Nature (l’état des ressources y compris humaines) et le Travail (la manière de respecter ou non ces ressources autant que la manière d’être) constituent, pour moi, des clés que je préfère aux termes de développement durable.
“L’universel c’est le local moins les murs” (Torga)
J’accompagne des collectivités, des communautés, des entreprises, des territoires qui s’engagent dans des innovations et projets visant la sobriété, l'expérimentation sociale et le développement humain. Mon rôle est de les aider à prendre des risques et de prendre ces risques avec eux qu’il s’agisse d’études-action, de formation-action ou de missions de conseil-appui.
“Les innovations sont des désobéissances qui ont réussi” (A. Einstein)
Je mets ma centaine de références au service de ces objectifs. 30 ans d'approches transversales et pluridisciplinaires autant que tâtonnantes, avec ce mot de Michel SERRES ("Petite Poucette" 2012), pour toujours garder en tête l'impérieuse nécessité de la transversalité: "si l'on découpe la réalité vivante de manière analytique, elle meurt ».
Enfin j’adore cette maxime que l’on peut appliquer à toutes sortes de publics (au premier rang desquels les consultants- par nature!- de nombreux chefs d'entreprises , les économistes- ah oui!- et la part du personnel politique qui sait le mieux avancer masqué…):
"Si vous demandez à des grenouilles comment assécher un étang, elles vous diront toutes qu’il faut l’arroser! «
