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Nick CONRAD

PARIS

En résumé

NICK CONRAD, une autre vision du HIP HOP



Après avoir écrit sa première chanson à l'âge de 10 ans , Nick Conrad, réalise aujourd'hui son rêve : être reconnu comme un auteur-interprète de hip-hop à part entière. Originaire du quartier du Champy, qu'il n'a pas quitté depuis vingt-cinq ans, il espère maintenant conquérir le reste du monde avec un premier album, The Magnificent Way, et un clip, réalisé avec le soutien de la Ville de Noisy.



Avec un large sourire, Nick Conrad tend fièrement son album, sorti tout récemment dans les bacs. C'est une étape importante, une victoire gagnée sur la vie aussi, un combat qu'il mène depuis tout petit. Atteint de drépanocytose, une maladie génétique chronique qui s'attaque aux globules rouges, le jeune homme a subi les longs séjours à l'hôpital, la souffrance, les traitements lourds qui ont émaillé toute son enfance. Aujourd'hui, il a appris à vivre avec sa maladie et reconnaît qu'elle lui « a forgé le caractère », et l'a aussi conduit à se tourner très jeune vers l'écriture.



Premier concert à 12 ans

Issu d'une famille camerounaise qui lui a « tout apporté », il est entouré d'un père mélomane ‑ « J'ai été bercé par la musique de jazz New Orleans, le blues et le folklore camerounais » ‑ et d'une mère très présente qui l'a toujours soutenu et encouragé (Noiséenne engagée, sa mère a notamment participé activement à la réhabilitation du quartier du Champy). Doué d'une grande sensibilité artistique, il fréquente pendant deux ans le conservatoire de musique de Nois,y où il apprend la trompette tout en écoutant Miles Davis en boucle, et il participe à son premier concert d'électro-jazz à l'âge de 12 ans. Depuis, il enchaîne les représentations dans les festivals de hip-hop et les petites salles à Paris et en région parisienne et évolue vers une carrière d'artiste à part entière.


Un HIP HOP différent

Ses influences musicales sont d'abord françaises, avec des artistes reconnus comme Mafia Underground, puis il se tourne vers le hip-hop new-yorkais, qui emprunte à la soul et au jazz et lui apporte la richesse musicale qu'il recherche. Dans les douze titres de son disque, The Magnificent Way, Nick conrad utilise une écriture particulièrement ciselée. « Les titres sont en anglais pour l'international, mais les textes sont tous en français, la seule langue qui puisse traduire au plus près ce que je ressens. »

La musique hip-hop jazzy est créée par son acolyte Black Roses, pianiste compositeur talentueux. Les thèmes sont très personnels, d'un réalisme parfois tragique, comme dans Sickle Cell (drépanocytose en anglais), un titre émouvant parce qu'il y raconte sa maladie et sa peur de «manquer à l'appel », avec des mots qui font mal et touchent au plus profond. Une sensibilité à fleur de peau qui n’exprime ni la haine ni la violence, mais simplement des sentiments sincères et explicites comme il l'écrit dans Microphone Master, où il dénonce sans attaquer. Déterminé, il conclue : « Je crée un hip-hop différent avec des textes maîtrisés et une musique qui me ressemble. »

C’est ce que l’on peut découvrir dès à présent dans son clip, réalisé avec le soutien de la Ville de Noisy : un travail particulièrement soigné et tourné dans un studio d'enregistrement à l'image ‑ très professionnelle ‑ de l'artiste. À voir d'urgence !

Clip visible sur sur sa page Fan Facebook : Nick Conrad

Sylvie Last

Mes compétences :
Rapper

Entreprises

  • Pharaonicks - Artiste Hip Hop Jazz

    maintenant
  • Pharaonicks Entertainment - Artiste Hip Hop

    maintenant NIXON, une autre vision du HIP HOP



    Après avoir écrit sa première chanson à l'âge de 10 ans , Nick Conrad, alias Nixon, réalise aujourd'hui son rêve : être reconnu comme un auteur-interprète de hip-hop à part entière. Originaire du quartier du Champy, qu'il n'a pas quitté depuis vingt-cinq ans, il espère maintenant conquérir le reste du monde avec un premier album, The Magnificent Way, et un clip, réalisé avec le soutien de la Ville de Noisy.



    Avec un large sourire, Nixon (« Natural Intelligence of an Xplicit & Original Negro ») tend fièrement son album, sorti tout récemment dans les bacs. C'est une étape importante, une victoire gagnée sur la vie aussi, un combat qu'il mène depuis tout petit. Atteint de drépanocytose, une maladie génétique chronique qui s'attaque aux globules rouges, le jeune homme a subi les longs séjours à l'hôpital, la souffrance, les traitements lourds qui ont émaillé toute son enfance. Aujourd'hui, il a appris à vivre avec sa maladie et reconnaît qu'elle lui « a forgé le caractère », et l'a aussi conduit à se tourner très jeune vers l'écriture.



    Premier concert à 12 ans

    Issu d'une famille camerounaise qui lui a « tout apporté », il est entouré d'un père mélomane ‑ « J'ai été bercé par la musique de jazz New Orleans, le blues et le folklore camerounais » ‑ et d'une mère très présente qui l'a toujours soutenu et encouragé (Noiséenne engagée, sa mère a notamment participé activement à la réhabilitation du quartier du Champy). Doué d'une grande sensibilité artistique, il fréquente pendant deux ans le conservatoire de musique de Nois,y où il apprend la trompette tout en écoutant Miles Davis en boucle, et il participe à son premier concert d'électro-jazz à l'âge de 12 ans. Depuis, il enchaîne les représentations dans les festivals de hip-hop et les petites salles à Paris et en région parisienne et évolue vers une carrière d'artiste à part entière.


    Un HIP HOP différent

    Ses influences musicales sont d'abord françaises, avec des artistes reconnus comme Mafia Underground, puis il se tourne vers le hip-hop new-yorkais, qui emprunte à la soul et au jazz et lui apporte la richesse musicale qu'il recherche. Dans les douze titres de son disque, The Magnificent Way, Nixon utilise une écriture particulièrement ciselée. « Les titres sont en anglais pour l'international, mais les textes sont tous en français, la seule langue qui puisse traduire au plus près ce que je ressens. »

    La musique hip-hop jazzy est créée par son acolyte Black Roses, pianiste compositeur talentueux. Les thèmes sont très personnels, d'un réalisme parfois tragique, comme dans Sickle Cell (drépanocytose en anglais), un titre émouvant parce qu'il y raconte sa maladie et sa peur de «manquer à l'appel », avec des mots qui font mal et touchent au plus profond. Une sensibilité à fleur de peau qui n’exprime ni la haine ni la violence, mais simplement des sentiments sincères et explicites comme il l'écrit dans Microphone Master, où il dénonce sans attaquer. Déterminé, il conclue : « Je crée un hip-hop différent avec des textes maîtrisés et une musique qui me ressemble. »

    C’est ce que l’on peut découvrir dès à présent dans son clip, réalisé avec le soutien de la Ville de Noisy : un travail particulièrement soigné et tourné dans un studio d'enregistrement à l'image ‑ très professionnelle ‑ de l'artiste. À voir d'urgence !

    Clip visible sur http://ww.myspace.com/jazzconrad

    Sylvie Last

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