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Addc ASSOCIATION DE DÉFENSE DES DROITS DU CITOYEN

ROISSY EN BRIE

En résumé

Fondée le 12 avril 2011 par:

M. GONZALEZ, Président (père d'une victime,désigné par les Membres co-fondateurs, ex Elus de Gauche), Gaulliste jamais encarté

M. JACOB, Présidente d'honneur et Vice-présidente, retraitéee de la DDASS, Syndicaliste, Conseillère Municipale puis Maire-adjoint (PS) en charge de la Culture et de la Communication de 1989 à 1995, puis Présidente du groupe socialiste/Verts "Roissy Ensemble" de 1995 à 2001

J. POILVE, Vice-présidente, syndicaliste, Responsable Resto du coeur, ex Conseillère municipale commmuniste (ayant démissionné suite à des "pressions")

J-L CHETIF, Trésorier, Conseiller Municipal puis Maire-Adjoint (PRG) aux Affaires Sociales, de 1989 à 1995, Conseiller municipal de 1995 à 2001

J-P CLARISSOUX, Secrétaire, retraité SNCF, Syndicaliste, Conseiller Municipal puis Maire-Adjoint (PS) de 1989 à 1995 (ayant démissionné suite à des "pressions")

G. GONZALEZ, Secrétaire Adjointe (à la demande de J-P Clarissoux), n'ayant pas participé à l'élection du Président


EXTRAITS DES STATUTS:

Article 1er:

Un comité de personnes sensibles à toutes les injustices de cette vie, qu’elles soient juridiques, ou personnelles, décide de créer une Association régie suivant les dispositions de la loi de la loi du 1er juillet .


Article 2:

Cette Association a pour but de dénoncer tout abus de pouvoir quel qu’il soit ainsi que la corruption, et d’organiser l’information et la défense des intérêts de tous Citoyens sur toutes les questions concernant ces problèmes :

- Défense de la personne

- Droit des Femmes (notamment, obtenir des pouvoirs publics, qu’aucune femme, ayant dénoncé des faits relatifs à l’abus d’autorité en matière sexuelle dans les relations de travail - loi n° 92 1179 - ou concernant ce type d’actes sur ses enfants ou d’autres enfants que les siens, ne puisse être en aucun cas condamnée pour dénonciation calomnieuse par un Tribunal en sa formation civile, si un Tribunal Correctionnel n’a pas établi la plainte « abusive » en vertu de l’article 91 du Code de Procédure Pénale)

- Droit des Enfants

- Droit à la Justice

Mes compétences :
Pénal
civil

Entreprises

  • Association de Défense des Droits du Citoyen (ADDC Fédération) - Association apolitique

    2001 - maintenant a soutenu entre autres, Amina LAWAL, SAKINE (Femmes menacées de lapidation),

    En 2004, a été entendue sur réquisitions du Procureur de la République dans "Affaire Mme A.", pour dénoncer les différentes versions et rappeler le risque de faux témoignages par "copinage", spécialité de cette commune comme dans l' "Affaire G.".
    [Mme A, mère célibataire avec 2 enfants, qui à la recherche d'un logement et méprisée par la commune, avait soi-disant "agressée avec une arme" la maire (en réalité, un pot de fleurs), poursuivie par la Maire avec une demande de dommages et intérêts faramineux et qui, bien que reconnue fragilisée psychologiquement, s'est retrouvée en psychiatrie à la demande du premier Magistrat de la commune, les enfants menacés de la DDASS


    2006, "Soutien aux travaux de la Commission d'enquête d'OUTREAU: Communication d'éléments d'un dossier pénal mettant en exergue des dysfonctionnements à tous les niveaux de la Justice" demandant:

    -- la "suppression de l'UNIQUE Juge d'Instruction" qui, dans certaines affaires "politico-juridiques , n'est absolument pas indépendant du Parquet lui-même à la botte des Politiques régionaux

    --la mise en place d'une structure composée de Politiques et de gens de la société civile afin que le Citoyen ait un réel recours lorsque le Garde des Sceaux refuse d'appliquer ses prérogatives

    -- la sanction réelle des Magistrats, "payer leurs fautes" (pas par une simple mutation avec promotion)

    -- la mise en place d’une structure qui pourrait être composée de Parlementaires et de Responsables d’Associations spécialisées dans la Défense des Droits du Citoyen, à titre d'exemple, l'Association de Défense des victimes d'Injustices (A.DE.VI, Toulouse) qui, à plusieurs reprises, a obtenu ou a permis d'obtenir la condamnation de la France par la CEDH, ou d'autres Associations reconnues d'utilité publique telle l’ANVI (Vauvert). Sorte de jury populaire qui serait conforme à l'esprit républicain, tout autant, et pour le moins, que les jurys de Cours d'Assise qui pendant deux siècles ont alimenté la machine infernale du Sieur GUILLOTIN, alors que tirés au sort, donc sans aucune garantie de leur quotient intellectuel ni même de leur moralité tant il n'est pas contestable, étant donné l'état de notre Justice, que le fait de n'avoir jamais été condamné n'est plus un critère de respectabilité".


    2007, Mme C... qui ne parvenait pas à obtenir une autorisation de visite pour voir son fils incarcéré....


    Depuis 2001, "Affaire G.", « Véritable mise à mort programmée d’une victime avec la complicité d’Elus responsables » (« Lettre ouverte aux élus » des Syndicats CGT du 20/05/2005), pour avoir refusé de se prostituer à son chef de service, abusivement licenciée en 1991 par le maire socialiste L. REBOUL, par "détournement de pouvoir dans le seul but de protéger" le directeur du Conservatoire (et son ami personnel).

    Victime de faux témoignages de collègues, de tous les abus de pouvoir y compris de la Justice pour des raisons politico-juridiques et autres, par des Magistrats qui se savent "intouchables" au point d'avoir émis des actes de procédures qui ne sont autres que faux intellectuels en écritures publiques, disparition de toutes les pièces à charge contre son agresseur, mais aussi contre les auteurs de faux témoignages dont un policier municipal.

    Victime des 3 « maires indignes » dont C BERAUD, socialiste, S.FUCHS, communiste, qui ont utilisé cette affaire pour se faire élire, et ont « violé et violent le droit au travail d’une femme » et font avec acharnement « obstacle à l’exercice normale d’une activité économique en refusant le bénéfice d’un droit »,

    Toujours non réintégrée malgré l'annulation de la décision par le TA, malgré une lettre du maire responsable de 1995 officialisant les démarches administratives engagées pour la réintégration rétroactive et définitive considérée « engagement pour la commune par les Juridictions pénales dans 2 plaintes en diffamations publiques ayant abouti à relaxe

Formations

Pas de formation renseignée

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