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Olivier BAREAU

NICE

En résumé

Olivier Bareau est un autodidacte passionné d’images, très tôt il a su prendre le virage des arts numériques. Touche-à-tout, curieux et envieux d’apprendre il s’est forgé au fil des ans une identité numérique aux travers de ses différents métiers. Ayant obtenu en 1992 un diplôme de graphiste publicitaire au sein de l’école MJM à Nice il se spécialisa dans la P.A.O à l’époque encore balbutiante.
Mais la double révélation fut pour lui la découverte des œuvres de Nam Jun Paik ainsi que l’achat d’un ordinateur à la capacité graphique étonnante pour l’époque : un Amiga 500 !
« Mon père avait acheté un des tout premier Mac Plus, je trouvais que Macpaint était sympa mais tout ça manquait de couleurs et de possibilités vidéos et puis c’était surtout son jouet pas le mien ! «
De la couleur ? Point trop n’en faut ! Reprenant à son compte l’adage de Tati
« Trop de couleurs distrait le spectateur ! »
Olivier se dirige de plus en plus vers une réduction du nombre de ses couleurs.
« Je gère très mal la diversité de couleurs, je n’aime pas les explosions de couleurs et je me contente généralement de deux voire trois gamme de couleurs pas plus »
Son gout pour le minimalisme (c’est un fan du Bauhaus – l’école d’art comme le groupe de musique des années 80 se plait-il à dire) le pousse à ne dessiner qu’en noir et blanc, car c’est bien par le dessin qu’il commença a s’exprimer par l’image, délaissant la photo qu’il considérait a tort comme une simple copie du réel.
Là aussi ce fut la peinture et encore plus la sculpture qui changea l’opinion d’Olivier « Je me souviens être resté en extase devant un monochrome de Klein, j’étais fasciné par l’IKB « mais ce jour là au Mamac il n’était pas au bout de ses surprises
« La deuxième claque je l’ai prise avec une exposition sur l’Arte Povera, c’était tellement minimal que les gardiens devait chasser les visiteurs qui prenait les œuvres pour le mobilier du musée … »
La rue devint alors son terrain de jeu étant à l’époque parmi les premiers tagger de Nice
« Avec plusieurs amis comme Big-B et man-X mais j’étais beaucoup moins doué qu’eux ! »
Puis il y eu la découverte d’Ernest Pignon Ernest et de ses mise en scène souvent macabre puis du « Support-Surface »
« A l’époque je passais beaucoup de temps a faire des textures synthétiques sur ordinateurs, j’étais fasciné par les fractales et par les motifs du quotidien. »
Fan d’Escher, Olivier garde un gout pour les constructions géométriques strictes
« Et pourtant j’étais nul en math !!! »
Qu’importe l’outil informatique était là pour pallier les manques théoriques.
Et là photo dans tout cela ?
« J’ai eu la chance de travailler avec les premiers vrais scans couleurs à l’époque les moniteurs n’affichaient que 256 couleurs il fallait imaginer le rendu final. »
Le virus du numérique était présent, il n’attendait que le terrain propice pour se développer.
« La photo ? A l’époque je n’y pensait pas, mon père en fesait mais il manquait le coté instantané et le résultat n’étais pas souvent a la hauteur de mes espérances, je me rappelle avoir acheté des petites boites a savon kodak je crois bien ne les avoirs jamais fait développées !!! »
Il fallu attendre 2003 et la fin des aventure musicales d’olivier (qui est aussi compositeur de musiques électroniques) pour qu’Olivier achète son premier appareil numérique un Sony DSC F717.
« Je le conserve jalousement c’est un appareil très ludique avec une optique peu commune dans cette gamme de prix »
Tout s’enchaina alors très vite, inscription sur le site de partage de photos « Flickr », premiers avis favorables de ses pairs, premières images vendues.

Mes compétences :
Musique
Linux
Photo
Burlesque
Vintage

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